EISERNENKREUZ

Bonjour,
C'est dernier temps cette copie des année 70 ressort en force !
Pour info extrait du forum passion militaria (auteur Klaus Von Othioten):
Salut à tous !

Je voulais, pour compléter ce post, signaler qu'une une copie très courante du sachet existe.





Pour mémo :
La colle est du côté gauche,
Pas de marquage fabricant.
L'écriture est ainsi :



En bas, un bon sachet (une des seules variantes avec la colle de ce côté.
Mais ATTENTION : La photo du dessous n'est pas la seule bonne écriture existante ! Les fabricants ont beaucoup d'écritures différentes !

Bonjour,
Qui dit que les enveloppes sorties dans les années "70" sont des copies?
Des témoins de l'époque?
Cordialement.

J'aimerais bien avoir une réponse technique, hors lettrage et côté collage, pour affirmer avec certitude que les enveloppes des années "70" sorties de Strasbourg sont des copies...
Les EK2 "122" étaient délivrées avec quels types d'enveloppe?

N'insiste pas Alain tu n'auras jamais de réponse. Moi perso je ne cherche même pas à discuter...

Tu as raison Bertrand. J'ai du rêver les voir présentées pour la première fois, aux puces de Strasbourg, par ceux qui les avaient découvertes peu de temps avant.
Cordialement.

Bonjour,

Elle sont considérées comme copie pour beaucoup de monde et je pense qu'il faut le signalé.
Après chacun est libre de penser quelle sont bonne mais le prix en décote forcement.

Bonjour,
Si leur origine reste un mystère, la provenance de ces enveloppes ne l'est pas. Elles ont été découvertes toutes en même temps lors de l'inventaire effectué dans la boutique d'un bijoutier/joaillier strasbourgeois après son décès. Elles étaient rangées en paquets dans un coffret en bois de couleur verte. La boutique existait déjà pendant la guerre.
C'est comme Bacqueville avec ses badges de la Kriegsmarine retrouvés dans les sous-sols du ministère de la Marine. Il ne s'en est pas vanté.
Les collectionneurs sont influencés par les racontars américains qui ont ramené chez eux, ceci dit en passant, beaucoup de daubes après guerre.
J'en ai un peu soupé des rumeurs sans argument sérieux.
Après je trouve que c'est aujourd'hui le bon moment pour les ressortir, avec un prix oscillant entre 10 et 25€ du bout, le bénéfice est important. Au prix où sont maintenant les EK2, entre 100 et 200€, chacun va vouloir son enveloppe.
Cordialement.

Si ça peut aider j'ai acheté une croix de fer neuve, ruban plié en deux jamais monté avec une de ces enveloppes en 1985 pour 200fr
Le gars qui était collectionneur/marchand en avait quelques unes

C'est à rapprocher des fameuses "333" découvertes en même temps. Là aussi le mystère demeure : pourquoi "333".
A cause de ce marquage énigmatique les américains les considèrent comme copie sans en apporter de preuve formelle.
Par contre les "122" issues aussi de Strasbourg (J.J. STAHL) ne posent aucun problème aux collectionneurs bien que leur enveloppe de distribution ne soit pas connue.
Pourtant, sur le marché français, elles sont presque aussi courantes que les "333". Comprenne qui pourra.

J'en entends encore me dire que les 122 ont été fabriquées à Strassbourg en Allemagne (ville allemande homonyme) et non Strassbourg en Alsace. Mort de rire.... Ce doit être les même qui considèrent que ces sachets sont copies car ils ne savent pas.

bonjour, le soucis est que la qualité de la 333 semble avoir évolué dans le temps, .... http://fr.1001mags.com/parution/uniformes/numero-267-nov-dec-2009/page-58-59-texte-integral
Pour ma part j'ai une 122, achetée à un collectionneur, elle était dans le sachet dit copie avec collage à gauche, je ne possède pas de 333.

Cette "petite histoire" est vraie. J'en ai été le témoin.
L'auteur oublie un détail : la frappe du "333" est nette sur les EK2 des années 70 et floue sur celle des années 90.
Questions :
- Qu'est devenu le stock (pièces assemblées et/ou détachées) des EK2 "122" après la guerre (Strasbourg a été libéré le 23 novembre 1944)?
- Qu'est devenue la matrice découverte avec les "333"?
Je crois que les réponses sont dans les questions.
Cette histoire est à rapprocher de celle des EK1 du viennois FLOCH qui a réalisé après la guerre des EK1 avec des pièces détachées provenant des fabricants viennois Orth et Souval, puis a fini à partir des années 70 à faire des EK1 100% fausses.